• use.library.free.fr/<wbr>fr/etudes/etudes_0.html.


     


    Séquence III-8


    Malgré les intérêts nombreux qu'elle développait, elle n'avait, en définitive, rien étudié, ni la littérature, ni le dessin, ni la biologie, ni la métaphysique, ni rien du tout.


     

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> 

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     www.thinktankstudios.com/<wbr>creatures.html.


     


     


    Séquence III-7 


     


    Il suffisait de devenir de la nourriture de dragon et de pénétrer la gueule béante qui cette autre fois, n'en finissait plus de se balancer avec elle, Fiona, puis de retourner la bête de l'intérieur comme on le ferait d'un gant et de nouer les deux bouts bien serréés jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien.


     


     


     


     

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    "Tous les désastres du métier" composition de Jean François Gavoty pour la galerie Baumont à Bordeaux


    un très beau site où l'on a plaisir de se perdre:


    http://jfgavoty.free.fr/nord-est/n2e3.html


     


     


     


    Séquence III-6


     

    Vanité des vanités. Tout n'était que vanité.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    "Et alors, et puis après ? On a bien le droit de s'amuser un peu, non ? coupa Voix Aigüe, n'est-on pas là juste pour ça ?"


     


     


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  • Arbre de l'oubli, acrylique de Ana Pardo


    http://www.anapardo.com/pages/fr2/foleo09h.htm


     


    Séquence III-5


     

    A moins qu'ils n'aient tout à fait oublié et peut-être, était-ce là atteindre l'âge adulte ? <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />Et la tristesse l'envahissait et aussi la culpabilité d'avoir osé se détacher de ceux qui l'avaient engendrée et d'avoir tenté de fouiller l'intimité de leur être... inutilement.

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  •  www.deserrance.com/<wbr>photo-98336-en-pleurs_jpg.html.


     


    Séquence III- 5


     


    Il lui semblait qu'elle avait la réponse sur le bout de la langue mais quelque chose de douloureux l'empêchait de la désigner clairement et lui murmurait qu'il était imprudent de savoir et Fiona avait presque envie d'en pleurer. Et elle contemplait encore et encore ses parents. Ces drôles de têtes d'humain avaient quelque chose de monstrueux et l'on pouvait se demander si, eux aussi, étaient dans le doute de ce qu'ils étaient.


     


     

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